Enfin, un poème qui se termine bien... ... Nah!
jaune était le petit pissenlit
qui visita la semelle de ma botte
écrasé sous ce terrible poids
il éclabousse tout le gazon
je me ravis à la vue de ceci
pensant à un grenouille
à la place de ces fleurs très banales
qui envahissent tout mon beau terrain
car ma colère surpasse le long
et périlleux chemin
vers la maison du bonheur parfait et éternel
mourant en même temps que moi
las
je m'arrête sur le pavé
noirci par le courroux crasseux
et rongeant mon âme inculte
en émettant cette sublime symphonie
je me fais emporter par le vent
de soupçons angoissants et proscrits
en exil je verrai tout ce qui doit vivre
et tout ce qui doit mourir
les pétales dansent dans le souffle maudit
et souffrent de la peur
qui dort en mon être
celui qui se noie dans mon esprit
22 mars 1998
qui visita la semelle de ma botte
écrasé sous ce terrible poids
il éclabousse tout le gazon
je me ravis à la vue de ceci
pensant à un grenouille
à la place de ces fleurs très banales
qui envahissent tout mon beau terrain
car ma colère surpasse le long
et périlleux chemin
vers la maison du bonheur parfait et éternel
mourant en même temps que moi
las
je m'arrête sur le pavé
noirci par le courroux crasseux
et rongeant mon âme inculte
en émettant cette sublime symphonie
je me fais emporter par le vent
de soupçons angoissants et proscrits
en exil je verrai tout ce qui doit vivre
et tout ce qui doit mourir
les pétales dansent dans le souffle maudit
et souffrent de la peur
qui dort en mon être
celui qui se noie dans mon esprit
22 mars 1998
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