samedi 16 décembre 2006

QUATRIÈME VOLET ou LE FESTIN NU DES RÉSIDENTS ERRANTS

Nous voilà rendus proche de la fin, chers lecteurs! Il reste moins d'une quarantaine de poème à mettre ici et nous serons à jour. Le passé aura rattrapé le présent et vous aurez la presque intégralité de mon oeuvre poétique. Il va rester le Dernier Soupir qui n'a pas sa place ici, mais plutôt chez un éditeur. Verra-t-il un jour la lumière? Qui sait?

Le quatrième volet, comme j'en ai parlé plus tôt, ne sera plus teinté des émanations putrides de mon cerveau. Au contraire, quelque chose de nouveau voit le jour, quelque chose d'aussi noir, mais encore plus difficile à saisir. Ce volet se verra teinté des Residents, de Burroughs et de Jocelyne Roy. Surtout d'elle. Le premier poème, dont j'ai déjà parlé à quelques reprises, souligne justement ma rencontre avec elle. Après cette "passe", quelque chose dans mon style a changé et tout deviendra confus, mais en même temps si limpide, nettoyé de tout surplus inutile. Beaucoup seront indéchiffrables, mais il est possible de le faire. Un compagnon d'écriture y est arrivé il y a quelques années.

Suffit pour l'introduction, bientôt viendra la poésie!

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