samedi 8 avril 2006

THE LIGHT

while the skies are blackening
I can't do anything but smile
in a mood where my heart is rising
up, so far, going for a hundred miles
following a light quite delightful
in the garden of swooning bliss

alone, I feel the heat of waves of full
sunshine, this I don't want to miss

where I go is a magnificent place
those one of pure happiness and kindness
still the light always shines for me in a pace
so fast that my eyes become helpless

but it doesn't matter, because I feel
deep within my heart and my wide mind
the light so hot and comforting, yes I feel
all I can feel and, at last, I remind

the day when it all begun
in the light

19 juillet 1998

Lumière, en effet, un phare au milieu de la décrépitude d'être moi à cette époque, tombant amoureux de toutes les filles que je rencontre. Ce sera encore pire dans le prochain et dernier poème en anglais de la phase "camp de concentration à Edmonton", où je me laisse même aller à le faire lire à la demoiselle en question qui était dans le camp avec moi (elle s'appelle Marie-Ève, si je me souviens bien, mais c'est tout ce que je peux me rappeler, mis à part ses yeux d'un bleu comme la mer). Ce n'est pas non plus la dernière fois que je donnerai un poème à une fille, et je vous promets de vous faire part d'une petite anecdote qui vient avec pas mal chacun d'eux (pour le peu qu'il y ait).

Sur ce, la nuit vient de s'ouvrir les tripes pour laisser venir dans quelques heures le matin. Mieux vaut aller sommeiller au son des Éditeurs...

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