vendredi 14 avril 2006

L'ÂME

Ce qui suit est un poème qui n'a jamais été terminé et qui ne le sera probablement jamais. Il n'est pas très long, et de toute façon, c'est une bonne chose parce que celui qui viendra après sera le plus long en date (4 pages de poésie en prose). Mais c'est pour un autre jour...


L’insondable obscurité qui dévore
Chaque jour, un peu plus que le précédant,
Les lumières oisives d’un regard pendant
Dans l’orgueil d’une soudaine Mort,
Isole mon cœur à la recherche de l’âme
Où réside mon courroux infâme.
Elle approche, mon étoile filante,
Ma flamme éternelle, une goutte simple
Dans un échelon de tristesse accablante,
Un brûlant désir mutant dans une plainte
Encore jamais accédée dans ces hautes
Sphères des confins de l’univers…

23 octobre 1998

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