samedi 13 mai 2006

SALE MERDE

Je ne me souviens plus vraiment des sources de ce poème, mais en le relisant, je trouve que j'étais très inspiré. :O)


Un sourire immensément imbécile,
me regardant d’un air servile,
s’ouvre sur les portes infernales
où le feu ardent tend à désintégrer
tout ce qui passe sous son souffle buccal,
nous faisant tous regretter
le jour où ce mutant est né,
dans une souffrance vénérée.

26 août 1999

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